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200 jours à l'heure



Il y a longtemps que je n'ai pas faite un résumé de mon petit train train quotidien qui va qui vient ici et là et que je consomme avec peut de modération car les jours qui se présentent sur mon chemin depuis quelques jours sont d'une beauté exceptionnelle et très réparateur pour mon corps qui s'enivre et se délecte par tant de douceur !

Mes maux de dos par des temps ensoleillés sont presque inexistants et je me surprend à dire - Allons faire un tour ! Marie toujours volontaire pour la galère , se rencontre les bienfaits du soleil , car elle a été témoin de ce dur printemps accompagné de pluie, de froid, de chutes radicales du thermomètre qui s'amusait avec ma santé de plus en plus sensible aux changement climatique extrême ! À la veille de mes soixante ans , l'exil vers les îles du sud semble être la solution pour pouvoir profiter de nos vieux jours avant d'être enfermé dans une résidence pour y mourir !


Benoit Gagnon naissance 1961, décès 1 janvier 2045

Benoit Gagnon 2019

Lorsque la maladie restreint nos activités à 60 ans , il vaut mieux profitez de la vie avant quelle profites de nous !

Les deux photos du haut font réfléchir sérieusement , surtout celle de droite réalisé avec un logiciel en ligne qui peut nous vieillir à l'age désirée . Moi j'ai choisis 2045 ce qui me donne 85 ans , encore beau bonhomme n'est ce pas ? À 20,30,40 ans on ne pense pas à la mort c'est plus tard après la cinquantaine que l'on commence à réfléchir au départ , AU GRAND VOYAGE . Le grand voyage . J'ai composé cette chanson il y a deux ans par une superbe journée d'été . J'étais seul , la maison était calme , un vent doux et réconfortant soufflait sur les rideaux fermés de ma chambre . C'est à ce moment que mon âme a monté comme un sage dans les nuages .


» Ma vie ces temps-ci le tout ce passe relativement bien . L'équilibre émotionnelle a ces bons côtés même si elle ne me pousse plus à rejoindre cette espace où mon coeur s'affole et perd ses repaires pour y voir la profondeur infini de l'abîme qui se trouve au pied de chaque pas que l'on pause dans la gravité qui nous tient accroché dans cette univers connu « !

J'aurai perdu ma route quelques fois dans ma vie , chaque fois cela aura eu le même goût amer et difficile a avaler . Il faut se reprendre , continuer a respirer et peu à peu l'air devient moins lourd , nos pas moins pesant . La vie reprend sa place où on reprend sa place dans la vie , mais la solitude !




Benoit Gagnon Publiée le 13 avr. 2016

Tous les instruments sont jouées par Ben Gagnon - N'oubliez pas de visiter https://benoitgagnon9.wix.com/live

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